Venons-en à la journée de pêche… Mais avant, un petit retour en arrière. Ce lac, est le premier lac que j’ai pêché de ma vie. Mes parents m’avaient traîné avec eux il y a de ça plus de 20 ans. Dans le temps, on devait apporter notre propre embarcation, la nôtre : un petit canot de cèdre avec des flotteurs, (question sécurité pour un petit énervé comme moi). Par la suite, nous avons eu la chance d’y retourner à plusieurs reprises, en effectuant toujours de très belles pêches : le quota avec en moyenne 1lbs par truite. De plus, comme si ce n’était pas assez, nous avions la chance de faire quelques coups de 2 par jour. Oui oui, 2 truites sur la même canne, et pas des petites là !!! C’était assez fréquent aussi surprenant que cela peut être. Voilà donc tous des beaux souvenirs me trottant dans la tête en route vers le lac.
Arrivé au portage, surprise, le chemin est vraiment dégagé, le portage raccourcis, un gros bravo à la réserve pour ce fabuleux travail, un petit merci spécial à M. Daniel Pelletier qui a travailler fort pour l’aménagement des portages en pêche à la journée. Donc, pour cette journée spéciale, mes accompagnateurs sont mon père (je lui devait bien un petit voyage sur ce lac), ainsi que ma blonde, nouvellement initiée à la pêche, et déjà une adepte. Comme nous connaissons déjà le lac comme le fond de notre poche, nous nous dirigeons directement vers un fameux « spot ». En fait, pour ceux qui y sont déjà allés vous avez sûrement remarqué que ce lac et en forme de T, et possède 2 fosses principales. On embarque dans un marais, (que j’appellerais la barre vertical du T), puis une fois sortie de cette branche, on a le choix de se diriger vers la droite, ou vers la gauche. Cependant, dans la partie centrale (jonction des 3 branches), il y a à peine 5 à 8 pieds d’eau. Ceci peut rendre difficile l’exploitation du lac à la traîne, puisque le lac est assez petit. Notre technique consistait donc de tenter la fosse la plus au nord pour débuter puisque nous avions toujours eu plus de succès dans celle-ci. À peine tourner le coin, déjà une touche, une belle petite truite combative d’environ ½ lbs se laisse déjouer par le gros vers juteux précédé d’une certaine « trolle de fille » à ma blonde. Ça commence bien, mais, beaucoup plus petit que dans mes souvenirs, nous continuons dons sur notre route, et les truites s’enchaînent rapidement. C’était assez surprenant de voir comment la pêche était facile, puisque nous étions à la réouverture du lac, et qu’un très grand nombre de truites avaient déjà été sorties durant l’été. Nous étions malgré tout confiants de sortir quelques truites plus dodues, justement car la plupart du temps, moins de truites = plus de nourriture par individus.
Nous tentons donc d’aller voir ce qui se passe dans l’autre fosse, plus au sud. En traversant le lac, nous remarquons qu’Il semble y avoir plus d’eau qu’à la normale dans le centre. Cela nous semblait improbable, puisqu’avec la canicule et la sécheresse que l’été nous avait réservé, le niveau de la plupart des lacs était très bas. C’est alors que j’ai remarqué au loin une immense cabane de castor, je dirais facilement 5 à 6 pied de haut, du jamais vu pour moi. Nous commençons donc à comprendre pourquoi l’eau est aussi haute, et probablement aussi pourquoi il y a un si grand nombre de truites, et en général, beaucoup plus petites que les autres années. Lorsque l’eau d’un lac est plus haute, cela créer souvent de meilleurs, et en plus grand nombre, d’endroit pour la reproduction. Il est donc fort possible qu’un plus grand nombre de truites aient vue le jour, donc moins de nourriture par individus.
Arrivé au portage, surprise, le chemin est vraiment dégagé, le portage raccourcis, un gros bravo à la réserve pour ce fabuleux travail, un petit merci spécial à M. Daniel Pelletier qui a travailler fort pour l’aménagement des portages en pêche à la journée. Donc, pour cette journée spéciale, mes accompagnateurs sont mon père (je lui devait bien un petit voyage sur ce lac), ainsi que ma blonde, nouvellement initiée à la pêche, et déjà une adepte. Comme nous connaissons déjà le lac comme le fond de notre poche, nous nous dirigeons directement vers un fameux « spot ». En fait, pour ceux qui y sont déjà allés vous avez sûrement remarqué que ce lac et en forme de T, et possède 2 fosses principales. On embarque dans un marais, (que j’appellerais la barre vertical du T), puis une fois sortie de cette branche, on a le choix de se diriger vers la droite, ou vers la gauche. Cependant, dans la partie centrale (jonction des 3 branches), il y a à peine 5 à 8 pieds d’eau. Ceci peut rendre difficile l’exploitation du lac à la traîne, puisque le lac est assez petit. Notre technique consistait donc de tenter la fosse la plus au nord pour débuter puisque nous avions toujours eu plus de succès dans celle-ci. À peine tourner le coin, déjà une touche, une belle petite truite combative d’environ ½ lbs se laisse déjouer par le gros vers juteux précédé d’une certaine « trolle de fille » à ma blonde. Ça commence bien, mais, beaucoup plus petit que dans mes souvenirs, nous continuons dons sur notre route, et les truites s’enchaînent rapidement. C’était assez surprenant de voir comment la pêche était facile, puisque nous étions à la réouverture du lac, et qu’un très grand nombre de truites avaient déjà été sorties durant l’été. Nous étions malgré tout confiants de sortir quelques truites plus dodues, justement car la plupart du temps, moins de truites = plus de nourriture par individus.
Nous tentons donc d’aller voir ce qui se passe dans l’autre fosse, plus au sud. En traversant le lac, nous remarquons qu’Il semble y avoir plus d’eau qu’à la normale dans le centre. Cela nous semblait improbable, puisqu’avec la canicule et la sécheresse que l’été nous avait réservé, le niveau de la plupart des lacs était très bas. C’est alors que j’ai remarqué au loin une immense cabane de castor, je dirais facilement 5 à 6 pied de haut, du jamais vu pour moi. Nous commençons donc à comprendre pourquoi l’eau est aussi haute, et probablement aussi pourquoi il y a un si grand nombre de truites, et en général, beaucoup plus petites que les autres années. Lorsque l’eau d’un lac est plus haute, cela créer souvent de meilleurs, et en plus grand nombre, d’endroit pour la reproduction. Il est donc fort possible qu’un plus grand nombre de truites aient vue le jour, donc moins de nourriture par individus.
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Depuis des lunes j'ai pêcher dans mastigouche, amant du sorcier et gros lac à truite tel dickignam, elliot, boisvert e autre la je trouve la méthode de réservation stupide, dans le temps de la réservation téléphonique il m'était possible de pêcher le sorcier 6 à 7 fois par saisons, sans compter les lacs à truites, j'ai même eu 2 fois en 2 ans 2 chaloupes sur le sorcier. y a t'il un truc pour réserver sur internet, sois l'heure peut importe aidez moi svp
RépondreSupprimerah oui 2 fois 2 chaloupes la même journée
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